samedi 31 mars 2012

Quand l'éducation devient un poison.

L’éducation en Tunisie n'a pas besoin de reformes mais d'une chimiothérapie suivie d'une ablation d'une tumeur de plus de 23 centimètres de dégâts. Le système est devenu vétuste, non conforme au normes internationales, et les chances qu'un étudiant soit bien formé en matière et en essence sont presque minimes. Comment prétendre pouvoir sauver un régime qui a crée des générations de jeunes formatés pas vraiment aptes à faire face aux challenges qui les attendes sur le marché du travail national. L'éducation a besoin d’intégrer plusieurs éléments qui peuvent apportés un vrai gain pour les futures diplômés.les jeunes gens ont marre du slogan diplôme égale boulot, ce n'est pas et le taux de chômage actuel le prouve bien. Une formation sommaire et sans but, parfois maladroite puisqu'elle ne mène pas l'obtention des capacités et des exigences des futures employeurs. Le jeune Tunisien trouve un peu surréaliste les annonces d'offres d'emploi, qui estime qu'au moins une expérience de trois ans et nécessaire sachant que le fait de trouvé un stage a mi-temps et quasi impossible , et si la personne est chanceuse , il sera dans un domaine autre que celui de sa spécialisation. Le système produit en masse mais pas en qualité, l'étudiant se lasse et jette l'éponge , étant témoin d'une éducation qui prône l’engrosse-ment en information sans application véritable des leurs connaissances. Formons nos jeunes et donnons leurs l'éducation qu'ils méritent , formons notre staff éducatif pour qu'il ne deviennent pas des robots qui répliquent des programmes truffés d’information,redorons le statut l’étudiant Tunisien qui a besoin de recourir à l'équivalence légalisé à 30 dinars la page, tous les tests de langue et de niveau ,variant de 35 à 270 dinars ,que certaines universités étrangères exigent comme elles discréditent l'actuel niveau éducatif Tunisien,garantissons le future de nos enfants , ne les humilions plus!

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